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4 applications dont vous avez besoin sur votre téléphone dès maintenant !

Les smartphones sont omniprésents tout comme les applications mobiles qui aident à les exécuter. Pendant que vous êtes en déplacement, vous pouvez commander une voiture, votre dîner, regarder un film ou jouer à un jeu.

Des millions d’utilisateurs mobiles ont transformé les noms d’Uber, Seamless, Netflix et Pokemon Go en noms familiers qui n’ont pas besoin d’être présentés. Cependant, il existe une nouvelle génération d’applications aspirantes et nous souhaitons vous en présenter quelques unes…

Lisa, l’assistant qui choisira votre meilleur selfie

Cette application choisit la photo que vous devriez partager. Par exemple, si vous avez trois photos semblables, Lisa se nomme comme juge.

L’application peut planifier des publications sur Instagram et générer des hashtags qui augmentent l’engagement en extrayant des milliers de fonctionnalités à partir d’une seule image..

«Nous faisons de Lisa un assistant intelligent des médias sociaux de bout en bout», a déclaré Demir. « À long terme, notre objectif est de faire de Lisa le seul mécanisme de décision pour tous les processus de sélection de contenu visuel … même en les créant ».

La section des commentaires, en temps réel

Pensez-y comme la version vidéo de la section des commentaires de YouTube, mais qui fonctionne simultanément avec la vidéo. ReCactus est une application de réaction, une ligne  de réactions des utilisateurs sur le contenu enregistré. Que vous soyez un contributeur ou un spectateur, l’écran partagé montre la vidéo et les réactions côte à côte.

Vos GIF viennent à la vie

Pops permet aux utilisateurs de tirer des photos animées en style GIF, qui s’imprime sous forme d’autocollant physique. Ces autocollants viennent à la vie sur vos flux de médias sociaux ou dans vos mains – tout comme les écoliers avec leurs autocollants holographiques de dinosaures.. L’application a été lancée en mai 2017, après seulement six mois dans les tests bêta.

Pour l’instant, les utilisateurs peuvent utiliser des photos animées pré-shot à l’aide d’applications telles que Boomerang, puis les télécharger pour imprimer ou utiliser la technologie Pops pour prendre une photo en direct. La société lancera sa première imprimante photo en direct en octobre.

Vos photos en 360°

Bien qu’il y ait aujourd’hui des caméras qui prennent des photos à 360 degrés, il est difficile de trouver une plate-forme pour partager le contenu. Facebook, l’un des réseaux sociaux les plus utilisés par les consommateurs a introduit un support pour des photos à 360 degrés sur sa plate-forme depuis l’an dernier.

Avec Lookabout, les utilisateurs peuvent partager un contenu panoramique sans posséder une caméra à 360 degrés. La société, née de l’incubateur Science Inc. qui a produit des entreprises comme Dollar Shave Club et DogVacay, a des plans pour la réalité augmentée et la réalité virtuelle comme prolongements futurs pour la plate-forme.

Cinq conseils pour votre stratégie social media

La campagne de la présidence de Donald Trump est une très bonne démonstration de la puissance des réseaux sociaux. Dans un certain nombre de tweets, le président Trump a non seulement défini une partie de l’agenda politique, mais a également altéré la valeur des grandes entreprises telles que Boeing et influencé les relations internationales. Il est temps d’examiner de nouveau votre stratégie social media et de reconsidérer ce qu’est une stratégie efficace en matière de réseaux sociaux, mais aussi de comprendre à quoi ressemble une stratégie social media inefficace.

Lorsque les réseaux sociaux sont utilisés efficacement, c’est un excellent outil pour communiquer rapidement avec les clients et la communauté. Les différents réseaux sociaux sont d’ailleurs aujourd’hui beaucoup plus efficaces qu’un communiqué de presse. Leur importance est si grande que de nos jours, le prix de l’action d’une entreprise est corrélé avec l’efficacité de sa stratégie social media.

Mais attention ! Cela signifie que les mauvaises nouvelles se propagent elles aussi rapidement ! Comment utiliser efficacement les réseaux sociaux  ?

Protéger les comptes de votre entreprise

Cela pourrait sembler évident, mais certains des plus grands abus sur les réseaux sociaux proviennent d’acteurs malveillants qui obtiennent un accès non autorisé aux comptes des réseaux sociaux des entreprises.

Assurez-vous que les comptes des réseaux sociaux soient bien protégés par des mots de passe percutants.

Utiliser des outils de gestion pour vos réseaux sociaux

Des outils tels que Sprout ou HootSuite permettent d’autoriser l’accès à vos comptes au personnel. Cela permet davantage de contrôle lorsque plusieurs personnes surveillent et utilisent vos comptes.

Soyez clair sur la responsabilité

Dans une grande entreprise, vous devez accepter que le personnel puisse partager des notes internes et d’autres informations. La récente note interne de United Airlines, suite à l’éjection violente d’un passager depuis un vol, est un bon exemple de la façon dont il est presque impossible de garder des informations en interne.

Pour les comptes officiels de votre entreprise, assurez-vous qu’ils soient clairement décrits comme officiels dans le profil.

Les comptes du personnel sont plus difficiles à gérer. Les comportements du personnel sur leurs réseaux sociaux sont impossible à gérer.

Vous pouvez demander au personnel d’ajouter une clause de non-responsabilité sur leurs propres comptes sociaux.

Vous n’avez pas le contrôle sur les messages, mais…

Les réseaux sociaux sont comme des êtres vivants. Vous pourriez peut-être prédire ce qui se passera lors d’une situation donnée, mais vous ne pouvez pas la contrôler à 100%. Cependant, vous pouvez faire en sorte que votre message soit entendu. Donald Trump est un bon exemple de la manière dont cela peut être efficace.

Au cours de la campagne présidentielle, il était implacable de conserver un certain nombre de messages cohérents et d’utiliser un langage simple et direct pour s’assurer que le message soit  mémorable et répétable.

Et bien que vous ne soyez peut-être pas d’accord avec sa politique, la capacité de sa campagne à maintenir un certain nombre de thèmes cohérents, aidés par certains événements, a été un facteur important dans sa victoire électorale.

Gardez vos messages simples et cohérents.

Pensez avant de publier

Il y a une multitude de campagnes social media qui sont devenues virales pour des raisons bêtes.

Avant d’envoyer un message que vous pensez être drôle ou si vous vous penchez sur des faits d’actualités qui font polémique, prenez l’avis d’une personne extérieure pour valider votre idée. Le message peut paraître drôle pour certains mais offensant pour d’autres.

ACTUALITÉ SOCIAL MEDIA – MARS 2017

Pour ceux qui auraient besoin d’un petit brief sur les tendances du moment en terme de stratégie social média, voici les 6 points que nous avons retenu de l’actualité de ce mois de Mars :

  • Instagram se met à table !
  • Peu c’est mieux !
  • Google, un nouveau réseau social ?
  • La campagne du mois : envie de sauver la planète ? Buvez des binouzes !
  • La puissance des réseaux sociaux
  • L’actu KRDS
  1. Instagram se met à table !

Instagram prévoit le lancement d’une nouvelle fonctionnalité pour les entreprises : « BOOKER »

Il sera désormais possible de réserver une table dans un restaurant via Instagram, depuis le profil du restaurant. Instagram pourrait même ajouter une fonctionnalité de suivi des réservations. Il sera possible de lier un compte Business Instagram avec une page Facebook.

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2. Peu c’est mieux !

Trop poster sur Facebook peut nuire aux marques. En effet, 44% des utilisateurs de Facebook abonnés à des marques trouvent que les posts sont trop fréquents, de plus 43% affirment que leur fil d’actualités est « pollué » par ces posts et 38% pensent que les contenus postés sont trop répétitifs et non engageants. En clair, il vaut mieux peu de contenu, mais des posts engageants avec une réelle valeur ajoutée plutôt que des publications en masse qui ne retiennent plus l’attention voire même qui dérangent.

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3. Google, un nouveau réseau social ?

Bientôt, aux USA et au Brésil, Google va permettre aux célébrités de « poster »  sur le moteur de recherche !

Cette fonctionnalité avait été mise en place lors des élections présidentielles américaines de 2016, les candidats pouvaient alors poster (texte, images et vidéos) sur Google. Aujourd’hui, cette fonctionnalité va devenir accessible aux célébrités et aux organisations.

Par exemple, si un internaute aux USA recherche « Donald Trump », il verra une section avec les publications comme si il était sur son compte Facebook ou Twitter.

La firme Mountain View développe ce système de « post » pour entrer directement en compétition avec les services de Facebook ou Twitter.

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4. La campagne du mois : envie de sauver la planète ? Buvez des binouzes !

Après une campagne 2016 ayant tout raflé dans les festivals de création internationaux (Grand Prix à Cannes, Yellow Pencil au D&AD…) DB Export repaye sa tournée en créant une nouvelle manière de sauver notre bonne vieille planète.

Alors que l’année dernière la marque créait un dispositif pour produire du biocarburant à partir des déchets créés dans la production de leur bière http://bit.ly/2n9BdKq. En 2017, elle sauve le sable de nos plages en créant une nouvelle manière de recycler ses bouteilles en verre : http://bit.ly/2opcUrO

Une bonne campagne de goodvertising qui continue à prendre le contrepied de ce que fait le secteur. Ce ne serait pas étonnant que Colenso BBDO repartent une nouvelle fois de Cannes avec quelques lions dans les poches.

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5. La puissance des réseaux sociaux

Le YouTubeur Jérôme Jarre a lancé une campagne de solidarité sur Twitter dans le but de récolter des fonds pour affréter un avion rempli de nourriture pour la Somalie. Grâce au partage de ses 1.3 millions d’abonnés du #TurkishAirlinesHelpSomalia et de leurs dons Jérôme Jarre a réussi son pari : il a obtenu l’accord de Turkish Airlines pour l’envoi de nourriture par avion puis a lancé la campagne « Love Army For Somalia » qui lui a permis de récolter 2.3 millions d’euros.

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6. L’actu KRDS

A l’occasion de la Journée Internationale des Femmes, Speedy a joué sur le marronnier en renversant les clichés à propos des femmes avec la publication de 4 posts aux contenus engageants.

Nous avons pu observer le résultat escompté : une grande participation de la part des femmes qui n’hésitent pas à revendiquer leurs performances en termes de mécanique ou de conduite !
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Les robots dans le e-commerce : ça vous bot ?

Les avancées en matière d’intelligence artificielle pourraient complètement réinventer le e-commerce. Explications d’une nouvelle conversation numérique.

Les progrès de l’intelligence artificielle (IA) permettent de dégager de plus en plus de scénarios. Si elle n’a pas encore changé le monde, elle devrait cependant modifier en profondeur le secteur de l’e-commerce. Certaines propriétés de l’IA ont d’ores et déjà été digérées, autant par les entreprises que par leurs clients. Ainsi, inutile d’indiquer que votre interface sur Netflix vous fournit des recommandations adaptées à vos goûts. Maintenant si l’on vous disait qu’une intelligence artificielle allait directement parler avec vous ? En réalité, ce qu’on appelle les bots ou « robots conversationnels » sont déjà actifs sur vos outils de messagerie. Plus de 33 000 d’entre eux auraient vu le jour depuis avril 2016. Ces robots permettent aux entreprises d’entretenir un lien direct avec leurs clients et d’entamer une conversation sur plusieurs canaux.

Car si vous pouvez déjà discuter avec le « bot Mastercard » ou le « bot Decatlhon » sur votre application Messenger, certaines voix militent pour que la démarche conversationnelle s’applique à d’autres moyens de communication : le SMS, la newsletter et autres points de contacts. D’autres précisent qu’un robot doit être optimisé pour chaque besoin du client. Inutile de créer une armée de bots qui exécuteraient tous la même chose. Ainsi, on pourrait imaginer des assistants personnels quand il s’agit de voyager, un vendeur numérique quand il faut choisir un produit, un analyste privé quand nous avons besoin d’évaluer un gros volume de données  ou un critique de cinéma individuel lorsqu’il est question de sélectionner une série. Certains experts estiment même que dans un futur proche, les bots pourront anticiper les achats des consommateurs et qu’en 2020, 85% des interactions commerciales seront réalisées sans humain.

Fake news, vraie riposte ?

De plus en plus de fausses informations pullulent sur la Toile. Suffisant pour inquiéter les Facebook et Google qui ont décidé de s’allier pour contrer le phénomène.

Le constat est sans appel : seulement un français sur quatre fait confiance à l’information relayée sur Internet. Pire, les trois-quarts d’entre eux ne croient pas aux nouvelles qui circulent sur les réseaux sociaux. Le baromètre annuel La Croix/Kantar confirme une tendance lourde qui a pris de plus en plus de poids tout au long de l’année : les gens sont de plus en plus méfiants vis à vis des médias. L’actualité politique n’est pas étrangère au phénomène. Des évènements considérés comme « improbables » tels que le Brexit, l’élection de Donald Trump ou la nomination de François Fillon ont jeté une lumière crue sur les dérives médiatiques et sondagières. Aujourd’hui, tandis que les populistes reprennent à leur compte ces « manipulations », d’autres internautes lancent rumeur et fausses informations. La tendance a désormais un nom : les « fakes news ».

Comme une trainée de poudre, le phénomène s’est suffisamment propagé sur Internet pour contraindre les médias traditionnels à répliquer. Nom de code ? Fact-checking. Les sites d’informations générales rivalisent d’inventivité pour proposer leur propre outil de vérification de l’information. Ainsi, Le Monde a lancé Décodex qui permet aux lecteurs de connaître le niveau de crédibilité d’un site. Les journalistes ne sont pas les seuls à faire front. Google, Facebook et consorts organisent depuis peu une riposte d’envergure. En décembre, le moteur de recherche annonçait la suppression de plusieurs résultats de recherche dont certains niaient l’existence de l’Holocauste. Début février, il avait d’ores et déjà effacé plus de 200 sites de sa plateforme publicitaire, Google’s AdSense. Facebook s’est aussi lancé dans la bataille en décidant toutefois de s’épauler. Ainsi, l’Allemagne est devenu le premier pays hors Etats-Unis a aidé le réseau social à réguler la diffusion de fausses informations sur la plateforme. En France, ce sont huit médias d’importance (dont Le Monde, Libération, BFM, l’AFP…) qui s’allient à la firme américaine pour combattre les fake news.

Les trois erreurs que les entreprises doivent éviter en social media

Le social media est un outil très puissant, mais de ce pouvoir découle une grande responsabilité. Heureusement, la majorité des erreurs qui coûtent le plus cher à une entreprise sont facilement évitables.

La visibilité qu’offre le social média et sa large portée sont ses plus grandes forces ainsi que ses plus grands dangers. Quand vous faites quelque chose de bien, l’exposition peut être extrêmement positive pour votre marque. Mais quand vous faites quelque chose de mal, tout le monde est là pour en parler ! Cela signifie qu’il est primordial d’éviter les erreurs suivantes, celles qui coûtent cher à votre image de marque:

1) Des posts inappropriés

Chaque semaine, on peut voir dans la presse l’histoire d’une marque qui a fait un faux pas sur les réseaux sociaux, qui a supprimé le post ou le tweet en question et qui fait maintenant ses excuses afin de restaurer son image et améliorer ses relations avec les internautes.

C’est facile de dire “comment ont-ils pu faire une chose pareil?” d’un point du vue extérieur. Cependant, il est tout aussi facile de faire la même erreur sans s’en rendre compte. Le problème avec les réseaux sociaux c’est que chacun a des opinions différentes et il est facile de détourner la signification d’un post et son contexte. Pour éviter de poster qui puisse être inappropriés, la marque doit instaurer une politique détaillée pour chaque post et en faisant valider ces posts ou ces tweets par différentes personnes avant d’être publiés.

2) Une stratégie trop agressive

Le monde du social média, surtout sur Twitter, est rempli de “rôdeurs” qui sont là seulement pour chercher la petite bête et faire tomber une personne ou une marque. Même si ceci peut paraître exaspérant d’assister de manière impuissante aux technique de ces rôdeurs qui saisissent la moindre occasion pour détruire vos campagnes social media, vous n’avez d’autre choix que de les laisser faire et d’espérer qu’ils tirent le meilleur de votre marque.

Cette technique est l’un de gros problème du social media et la meilleure solution est d’ignorer ces rôdeurs. Si vous faites cela, la solution reviendra à la normale après quelque temps. Ces rôdeurs souhaitent avoir votre attention et vous mettre dans l’embarras, ils se nourrissent de votre énervement. S’ils essaient d’être drôles, vous pouvez les taquiner par exemple en utilisant des punchlines. Le secret réside dans la constance de vos réponses. Si vous n’êtes pas sûrs de vos punchline, ne répondez surtout pas et de cette manière, ces rôdeurs ne peuvent pas être certains que vous avez lu leurs commentaires.

3) Une mauvaise identification de sa cible

Créer des profils, développer des contenus et suivre des comptes n’est pas suffisant. Si vous voulez être efficace sur les réseaux sociaux en tant que marque, vous devez cibler des objectifs et être sûr que vous atteindrez la bonne cible. Sinon, vous brasser juste de l’air.

Chaque stratégie social media qui a fonctionné a commencé par une compréhension précise de qui est l’audience à cibler. Étudier des informations démographiques n’est pas suffisant. Vous devez connaître les habitudes de consommation de votre cible, de quelle manière ils occupent leur temps, quelles sont leurs croyances politiques, quelle personnalité ont-ils etc. En connaissant précisément votre audience, vous pouvez facilement vous créer une personnage qui engage les utilisateurs de manière significative.

Pour conclure, il faut faire du social média un atout pour votre marque

Malheureusement, de nombreuses entreprises lancent des stratégies social media sans compréhension au préalable de ce qui fonctionne sur les réseaux et de ce que le social media marketing signifie. Ceci engendre souvent des erreurs coûteuses qui peuvent détruire l’image de votre marque ainsi que sa réputation pour les années suivantes.

En évitant les erreurs citées dans cet article, vous pouvez au moins vous assurer que vous ne tomberez pas dans ces pièges que certains de vos concurrents n’ont pas su éviter. Mais la clé pour une bonne stratégie social média sur le long terme est la compréhension de chaque plateforme que vous utilisez et il vaut toujours se tenir informer de leurs évolutions.

Audience des réseaux sociaux 2016-2017

1.Audience

carte

En ce début d’année 2017, il est temps de faire le bilan de l’utilisation des réseaux sociaux qui nous entourent. Le graphique ci-dessus met en avant une étude qui compare le nombre d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux en France ainsi que dans le monde. On constate que la France compte 31 millions d’utilisateurs actifs sur Facebook en 2016 pour un total de 1.71 milliards d’utilisateurs de la plateforme dans le monde. L’autre donnée importante concerne le réseau social Twitter avec 12.8 millions d’utilisateurs actifs en France et 313 millions dans le monde. La France concentre 7.13% des utilisateurs actifs mondiaux de la célébre application mobile SnapChat très célèbre chez le jeune public. Sur l’application Instagram, on constate que le nombre d’utilisateurs en France s’élève à 10 millions pour un total dans le monde à 500 millions. La plateforme de messagerie instantanée WhatsApp concentre 1 milliard d’utilisateurs actifs dans le monde. Et pour finir, nous sommes 2.7 millions en France à utiliser Pinterest.

2. Répartition démographique

Il est intéressant d’étudier démographiquement les utilisateurs des différents réseaux sociaux afin d’adopter une stratégie social média efficace et ciblée.

facebook démo 1

Commencons par Facebook qui concentre actuellement 31 millions d’utilisateurs actifs. On constate une légère majorité de femmes présente sur le réseau. En revanche, que ce soit pour les hommes ou pour les femmes, la tranches d’âge la plus représentée sur cette plateforme reste les 25-34 ans puis les 18-24 ans.

twitter démo 2

Sur les 12 800 000 utilisateurs de Twitter, on constate que 55% sont des gommes et 18.1% de ceux-ci ont entre 18-24 ans. Le réseau cible une population plus jeune puisque ceci est également confirmé pour les femmes avec 14.8% des utilisatrices qui ont entre 18 et 24 ans.

snapchat démo 3

Pour SnapChat, nous assistons à une égalité parfaite entre hommes et femmes présents sur cette application mobile. On constate une majorité de 18-24 ans présentes sur l’application.

Pinterest démo 4

Pour finir, Instagram est légèrement favorisé par les femmes qui représentent 55% des utilisateurs actifs. 49% de ces utilisatrices féminines ont entre 18 et 24 ans et 31% d’entre elles entre 25 et 34 ans. Les utilisateurs masculins sont également plus représentés chez les 18-24 puis chez les 25-34ans.

3. Usages

usage FB 1

En termes d’usages, cette fois, on constate que le réseau social Facebook est utilisé majoritairement au réveil. De plus, 80% du trafic se fait sur mobile et l’utilisateur de la plateforme y passe en moyenne 13 minutes de son temps / jour.

usage twitter 2

Sur Twitter, on constate que les utilisateurs y vont principalement pour s’informer ou bien pour observer mais non pas pour agir puisque 44% des utilisateurs n’ont jamais posté de tweet. Twitter reste un réseau très important sur lequel les marques se doivent d’être présentes puisque 80% des demandes de clients se font sur Twitter. C’est un outil très important pour la stratégie social média des marques.

Usage snapchat 3

L’activité principal sur SnapChat se traduit par l’envoi de « Stories » à ses contacts. Tout le trafic de l’application mobile se fait sur mobile. Les utilisateurs actifs y passent en moyenne 30 minutes de leur temps / jour.

usage pinterest 4

Instagram est la plateforme en hausse de ces-derniers temps avec une audience qui a doublé dans les deux dernières années. Les marques doivent favoriser ce réseau dans leur stratégie média puisqu’elle crée beaucoup plus d’engagement que Facebook.

BILAN

bilan

Les tendances qui vont transformer le content marketing en 2017

Le « content marketing » évolue très rapidement. La production de contenus génériques et la propulsion de ceux-ci aux yeux des internautes n’est plus une simple stratégie marketing mais représente l’espoir de chaque entreprise pour rester compétitive.

Les stratégies de contenu traditionnelles ont beaucoup perdu en efficacité. Les marques qui rencontrent le succès sont celles qui savent tirer profit des avancées de la technologiques et comportementales.

Par exemple, en 2013, l’investissement dans le mobile représentait 53% des dépenses totales en digital contre 47% pour l’ordinateur. En 2015, 65% des utilisateurs passaient la majorité de leur temps sur le téléphone contre 35% des utilisateurs qui se trouvaient sur PC, ce qui illustre le rôle prépondérant que joue le mobile dans le monde du contenu média ces derniers temps.

Tous ces chiffres prouvent que le contenu marketing et le marketing social media continueront d’évoluer et la technologie en sera le principal vecteur.

Nous vous invitons à ces exemples de nouvelles technologies qui sont sur le point de transformer fondamentalement le paysage de 2017 et d’après:

L’intelligence artificielle

La plupart d’entre nous a tendance à trembler et à battre en retraite lorsqu’on parle de ce “gros mot” qui est l’intelligence artificielle peut être à force d’avoir trop regardé Terminator ou Matrix/ Avec une intelligence artificielle qui est aujourd’hui capable de produire des articles intéressants et différentes formes de contenus, il est légitime que les développeurs et les marqueteurs aient un peu peur !

Mais sont-ils si apeurés?

Quand l’intelligence artificielle a été introduite comme une machine capable de réaliser des choses exceptionnelles, les êtres humains ont vu un avantage considérable dans cette technologie bien meilleure que l’homme pour réaliser certaines tâches en autonomie. C’est pourquoi les créateurs et les marqueteurs de contenus sont en train de tirer profit de cette science merveilleuse et de son pouvoir.

En effet, l’AI a le potentiel de changer le paysage du contenu marketing actuel et même de le révolutionner. Elle peut être utilisée pour une meilleure compréhension du contenu grâce à des mots-clés et permettre un développement des contenus de manière cohérente avec votre cible d’utilisateurs. L’AI peut également être utilisée pour aider à trouver des formats efficaces en termes de référencement, découvrir des meilleurs moyens d’enregistrement des données et automatiser la distribution des contenus.

Les créateurs de contenus ont définitivement beaucoup à gagner grâce à l’intégration de l’intelligence artificielle.

Les nouveaux objets connectés

Le monde dans lequel nous vivons n’est rien d’autre qu’un monde rapide et irréel.

De nouveaux outils apparaissent chaque jour avec la capacité de communiquer via des connections sociales grâce au monde ultra étendu des objets connectés à internet. Les utilisateurs ne sont plus cantonnés à l’utilisation unique de leurs PC, ordinateurs portables ou smartphones quand il s’agit d’interaction avec du contenu.

Par exemple, aujourd’hui, même des réfrigérateurs intelligents peuvent communiquer avec ses utilisateurs. Même les enceintes bluetooth peuvent être intégrées à une maison intelligente. Le challenge pour les créateurs de contenus va être de développer du contenu qui sera capable de répondre à chaque utilisateur via différents device dans ce monde des objets connectés.

De cette manière, les marqueteurs seront capables de fournir des contenus personnalisés en se basant sur la géolocalisation, la gestion des données et les alertes en temps réel grâce aux objets. Les marqueteurs seront même capables d’envoyer du contenu grâce à la donnée de proximité. Par exemple, les marques de vêtements pourront envoyer des messages en donnant des conseils et des idées de tenues à adopter pour l’hiver.

la réalité virtuelle et la réalité augmentée

2016 a clairement été l’année de la réalité virtuelle. Juste pour vous rappeler que des millions d’utilisateurs ont rendu Pokémon Go plus populaire que Tinder et Instagram. Ces technologies de développement ont permis la création de nouvelles plateformes de consommation de contenues.

La réalité virtuelle va prochainement faciliter la transition du marketing de contenu traditionnel vers ce besoin que nous avons de s’intéresser aux contenus visuels. Les créateurs de contenus vont pouvoir saisir cette opportunité existante afin de pousser des contenus optimisés pour la réalité virtuelle, ce qui est un secteur encore inconnu.

Le live streaming

Le streaming a longtemps été associé aux émissions en live ou même à des évènements sportifs.

Cependant, récemment, le live streaming est devenu juste l’une des principales options des smartphones juste après le but d’appeler ou d’écrire un texto. Les applications de Live Streaming sont devenues très populaires au sein des utilisateurs.
Ce Live Streaming devient véritable , pour les développeurs et les marqueteurs, une plateforme permettant de générer du contenus live en fonction de la demande.
De pus, avec Facebook Jumping au seni du live streaming, de plus en plus d’utilisateurs sont plus susceptibles d’apprécier le contenu proposé au sein des expériences live.

L’amélioration des algorithmes de recherche internet

Ces algorithmes de recherche et référencement sont en train de devenir tous automatisés tant que les mises à jour le sont également. La plupart des designs des marqueteurs se retrouvent sur des campagnes marketing en ligne et disposent alors d’algorithmes de recherche manuelle. Ceux-ci doivent également être mis à jour manuellement et de telles mises à jour sont communiqués directement à la communauté en ligne.

Cependant, les mises à jour automatiques vont, dans un autre temps, rendre difficile la prédiction des règles à mettre en place pour conserver la visibilité organique.
Les marketeurs vont donc devoir trouver les meilleurs moyens de rester vigilants afin pouvoir récolter les récompenses de la visibilité organique.

E-commerce et social média

De leurs côtés, le marketing e-commerce et social média ont déjà été explorés par les créateurs de contenus depuis de nombreuses années. Les plateformes telles qu’Instagram, Facebook et Pinterest ont été largement utilisées pour propager du contenu viral et pénétrer de nouveaux marchés.

Mais le réel challenge réside plus, dorénavant, dans l’achat-média que dans les sites social-média en eux-mêmes. Le social média représente actuellement le leader dans la création de contenu et dans sa distribution à une cible. Avec de tels acteurs qui génèrent autant de revenues, la principale information à surveiller n’est plus la consommation de contenu mais les sites hybrid e-commerce.

Le marketeur de contenu va devoir trouver des plateformes alternatives de marketing communautaire pour interagir avec sa cible et à être vu puisque les opportunités de visibilité organique tendent à diminuer fortement.

2017 représente une succession de challenges et d’opportunités pour tous les gens concernés par le marketing de contenu. Préparer le futur ne doit donc pas être une option mais une obligation. La préparation permet de rester compétitif lorsque d’autres industries vont être prises par surprise par ces changements. Ceci assure le bénéfice de la différenciation, même si la mise en place de nouvelles technologies revient à prendre des directions différentes.

Le native advertising : la publicité « nouvelle génération »

Face au nombre croissant d’internautes qui utilisent des bloqueurs de publicité, le marché publicitaire français semble se diriger vers plus de qualité et de transparence au moyen du native advertising.

Les chiffres sont sans appel. Aujourd’hui, 36% des Français utilisent un bloqueur de publicité, un chiffre en croissance de 12% depuis janvier et qui concerne aujourd’hui 50% des 16-34 ans. Mais tandis qu’une personne sur deux souhaiterait voire moins de publicités répétitives, la publicité en ligne pourrait se réadapter autour du native advertising. En plein essor depuis 2012, cette « publicité nouvelle génération » a pour objectif de remettre l’utilisateur au centre de la campagne publicitaire en lui proposant un contenu mieux ciblé et de meilleur qualité. Selon ses adeptes, le native advertising s’articule même sur des principes tels que le story-telling, le divertissement, l’interactivité et la transparence.

Le native advertising est aussi le résultat d’une convergence entre annonceurs, agences, médias et régies qui travaillent de façon beaucoup plus concertée en réfléchissant ensemble sur le type de contenu et son intégration afin de créer des campagnes intelligentes. Selon une étude menée aux Etats-Unis en 2016 par l’INMA (International News Media Association) et le NAI (Native Advertising Institute) montre que la réception de cette publicité nouvelle génération est plutôt bonne. 76% des lecteurs interrogés l’acceptent. Pensé sur plusieurs formats (le texte, la vidéo ou les contenus multimédias), le native advertising permettrait aux annonceurs de se crédibiliser auprès des internautes en induisant un meilleur engagement. Sur le terrain des réseaux sociaux, Snapchat a même développé une plateforme publicitaire afin de faciliter la création et la diffusion de contenus sponsorisés. Le réseau social se chargera d’évaluer la qualité des pubs avant de les diffuser. L’ultime preuve que le marché publicitaire sur le Web est en train de se diriger vers plus de qualité et que la publicité traditionnelle est peut-être en train de connaître ses dernières heures.

Fonctionnalités des réseaux sociaux : la concurrence à son paroxysme

La concurrence de plus en plus féroce pousse les réseaux sociaux à multiplier les fonctionnalités, au risque de s’inspirer en grande partie des innovations des autres. Au sein de cette dynamique, Facebook semble plus décidé que les autres.

Il semblerait qu’une étrange compétition soit en train de gagner le monde des réseaux sociaux. Alors que les nouvelles plateformes pullulent, les grosses têtes du digital telles que Facebook, Snapchat, Amazon ou LinkedIn ajoutent sans cesse de nouvelles fonctionnalités à leur système, quitte parfois à singer les innovations de leurs concurrents. À ce jeu de la transformation, c’est Facebook qui fait preuve de plus d’allant. Ce mois-ci, le réseau social aux 1,7 milliards d’utilisateurs a annoncé le lancement de Flash, une nouvelle application mobile à destination des pays émergents qui permet de partager des photos et des vidéos éphémères. Depuis quelques temps, des fonctionnalités qui rappellent celles de Snapchat ont fait leur apparition sur Messenger, Instagram ou WhatsApp (toutes propriétés de Facebook, ndlr). Tout récemment, Instagram a annoncé le lancement de deux nouveautés : les vidéos en live dans les stories et le partage de photos et de vidéos éphémères en messages privés.

Facebook s’inspire aussi d’autres modèles bien connus du Net. Le mois dernier, le réseau social annonçait son entrée dans le commerce en ligne avec « Marketplace ». Présentée comme « une extension naturelle », la fonctionnalité s’appuiera sur les informations personnelles de ses utilisateurs qui pourront par la même affiner la stratégie commerciale des annonceurs. Cette nouvelle orientation concurrence directement des sites comme Le Bon Coin ou Craigslist, leader de la vente en ligne aux Etats-Unis. Sur le long terme, la Marketplace de Facebook pourrait même inquiéter des sites comme eBay ou Amazon puisque l’objectif est de devenir une plateforme de commerce en ligne traditionnelle. Enfin, l’entreprise de Mark Zuckerberg a présenté un nouvel onglet baptisé « Offres d’emploi » qui pourrait faire de l’ombre à LinkedIn. Les entreprises peuvent publier une annonce et côté candidat un bouton « postuler » est disponible. Facebook compte également bénéficier de sa base de données utilisateurs pour à la fois aiguiller les entreprises vers les meilleurs candidats mais aussi rendre l’utilisation de la plateforme beaucoup plus simple d’utilisation.